Catégorie : Gravure
La plaque de métal (cuivre, zinc) est travaillé à l’aide d’acides ou d’une pointe métallique. Chaque impression est faite à la main sur un papier spécial et de grande qualité.
Œuvres:
- Le violoniste d’après Jacques Callot;
- Poséidon procédant à la destruction d’Atlantide;
- Qui est là?;
- Odile et Odette;
- Ambiance Haussmannienne;
- L’olivier du pont du Gard;
- Autoportrait à l’écharpe;
- La mort de Melencolia;
- Les bâtisseurs de la cathédrale d’Anvers;
- La vague;
- Cette main mystérieuse qui nous fait de l’ombre;
- Femme de caractère;
- Gand, quai aux herbes;
- Le cerisier;
- Tête d’apôtre;
- La fuite;
- Masque antique;
- Burg Eltz;
- Stairway to Heaven;
- The Old Geezer;
- Le vieux médecin;
- Vieillard oriental;
- Un trois-mâts carré avant le départ;
- Le pêcheur de crevettes d’Oostduinkerke;
- Fermiers d’Asie;
- Brest, le départ du morutier;
- Enfer Riemannien;
- La vieille souche;
- Eleveurs soudanais;
- Les grenouilles;
- La tempête;
- Le Maelström;
- Frederick Douglass;
- Uneasy Rider;
- Platon contre Aristote, le Un est cause;
- Hermaphrodite;
- Cantoria;
- Moonhorse;
- La création de l’Homme;
- Der Feuerreiter;
- Tête grecque;
- Dutch Landscape;
- Chute d’Icare;
- Venise;
- New York;
- Londres;
- Antwerpen;
- Antoine Vereycken;
- Autoportrait;
- L’Univers infini;
- Le corbeau II;
- La première gravure;
- Tête mystérieuse;
- L’attente;
- Droomkasteel;
- Graficus Jos Vereycken;
- Autoportrait 1975;
- Een kind doden.
Londres
La légende des corbeaux de la Tour de Londres
La présence des corbeaux est liée à une croyance selon laquelle tant que les corbeaux restent près de la Tour, l’Angleterre sera protégée de toute invasion.
Charles II, alors roi d’Angleterre au XVIIe siècle, décréta qu’au moins 6 corbeaux devaient être gardés à la Tour à tout moment, afin d’éviter les catastrophes. Une mauvaise idée selon son astrologue John Flamsteed. Incommodé par les corbeaux dans ses travaux d’observation du ciel, il se plaint au roi, qui décida de les abattre. Mais, le roi s’avisa lorsqu’on lui déclara que sans ces oiseaux dans la Tour, la Tour de Londres s’effondrerait avec son royaume. C’est alors qu’il décréta que les corbeaux devaient être protégés. Tradition qui perdure encore de nos jours.
Afin d’éviter que les corbeaux ne s’échappent de la Tour de Londres, leurs ailes ont été taillées, ce qui rend impossible toute fuite. On peut les apercevoir, en plein air, près de la tour Wakefield, car leurs appartements se trouvent à proximité. Vous rencontrerez, probablement aussi, le Ravenmaster, c’est à dire le maître des corbeaux, chargé de prendre soin de ses petits protégés, en les soignant et nourrissant.
Un rôle très sérieux puisque, une autre croyance veut que si les deux corbeaux de la Tour de Londres venaient à disparaître, cela annoncerait la fin de l’actuelle famille royale et la ruine de la Grande-Bretagne. C’est pourquoi, lorsque l’un d’eux meurt, on le remplace aussitôt.
Antwerpen
A Antwerpen (Anvers, Belgique), Druoon Antigoon était un géant qui demandait un important péage à tous ceux qui voulaient remonter le cours de l’Escaut. Ceux qui ne payaient pas voyaient leurs mains tranchées par le géant.
Il rencontra un jour un soldat romain, Silvius Brabo qui aurait réussi à le tuer et, pour venger a posteriori les victimes, coupa la main du géant et la jeta dans le fleuve.
Antwerpen, le nom néerlandais d’Anvers signifierait – selon une légende liée à l’origine du nom de la ville – « jeter la main » (« hand werpen »), mais cette étymologie populaire est contestée par les spécialistes, dont certains pensent que le nom d’Antwerpen viendrait plus prosaïquement de aan het werpen qui désigne la jetée d’un port.